Laétitia, développeuse chez Groupe Kardol depuis Octobre 2018, partage avec nous son parcours et nous parle de son métier.
Pour commencer, parle-nous de toi un petit peu…
J’ai 25 ans, je travaille chez Kardol depuis octobre 2018 après y avoir effectué deux stages. J’ai d’abord fait des études de gestion (licence de Gestion + master de Management International) puis j’ai voulu revenir à ce que j’aimais vraiment : le développement informatique. Alors j’ai fait un second master, en Systèmes d’Information. Comme j’avais une option informatique pendant mon cursus précédent, j’avais toute légitimité à le faire et je savais déjà que ça me passionnait.
Peux-tu nous expliquer ton métier de développeuse Sage X3 en quelques mots ?
Il y a deux composantes à ce métier : la partie projet et la partie maintenance.
Le projet concerne les nouveaux clients qui, suite à l’analyse auront des besoins de développements spécifiques qu’on va analyser, chiffrer et réaliser avant la recette générale du logiciel et le démarrage du projet.
La maintenance est la suite logique, le post projet, pendant laquelle on fait du développement de nouveaux spécifiques, de spécifiques déjà mis en place ou d’améliorations demandées.
Je m’occupe de mes clients principalement, mais quand un collègue a besoin d’un coup de main, je peux également prendre en charge certaines des demandes qu’il a à traiter.
Quelles qualités te semblent nécessaires pour devenir développeur ?
La première chose, à mon sens, c’est qu’il faut avoir la logique de l’algorithmie. La manière de penser, d’envisager un développement n’est pas naturelle, il faut donc travailler ça. Il faut aussi connaître un peu le fonctionnel. Comme on est en contact avec la clientèle, il faut bien sûr un minimum de savoir-être… Être organisée pour tenir les délais et répondre aux chronos. Et puis, il faut savoir se débrouiller pour trouver des solutions par soi-même, être autonome. Je sais que je peux demander à mes collègues ou mon responsable, mais c’est comme ça qu’on apprend le mieux.
Qu’est ce que tu aimes dans ton métier ?
J’aime créer alors que je ne suis pas vraiment manuelle. Pourtant, quand je fais du développement, je crée bien quelque chose de A à Z. Et puis savoir que je contribue à rendre la vie de nos clients plus simple, c’est important pour moi. Ce n’est pas juste être derrière un écran, le projet est important pour ses propriétaires et il est essentiel que ça soit bien fait. Après, quand j’ai fini, je suis fière d’être arrivée à faire quelque chose de difficile. Je me dépasse tout le temps du coup. Et puis ici, j’aime beaucoup mes collègues !
Un conseil pour quelqu’un qui débute dans le développement ?
Chez Kardol, il ne faut pas avoir peur de poser des questions. Il y a toujours quelqu’un pour te répondre. Et de manière plus générale, on a toujours peur de faire des erreurs, on se met beaucoup trop de pression alors que c’est comme ça qu’on apprend ! Et puis, après tout, il y a des gens qui travaillent depuis 30 ans dans ce milieu et qui font encore des erreurs ! Ce n’est jamais si grave, on peut corriger le problème et on s’en rappelle après !
Parlons de Kardol, la filiale dans laquelle tu travailles
Comment as-tu été amenée à postuler chez Kardol ?
J’y avais fait deux de mes stages qui s’étaient vraiment bien passés. Puis je suis partie au Canada pour faire mon master. A mon retour, Rodolphe, mon responsable de stage avec lequel j’étais restée en contact, voulait vraiment que je revienne, comme mes stages m’avaient beaucoup plu, j’ai accepté. J’ai juste demandé à être sur une partie technique pure, c’est ce que je voulais vraiment faire.
Qu’est-ce qui a fait la différence, pourquoi Kardol t’a-t-elle séduite ?
Je savais comment ça fonctionnait et dans quelle conditions de travail grâce à mes deux stages, comme je l’ai dit. Et puis on m’a concrètement demandé ce que je voulais faire ! Ce n’est pas si commun, surtout quand on est développeur junior !
Comment te sens-tu au sein de cette entreprise ?
Les conditions de travail sont top, on a des transats, des tables de pique-nique, un terrain de pétanque… Le cadre est hyper agréable. Sans parler du café gratuit. On sent qu’ici on fait vraiment attention aux gens, la direction s’adapte beaucoup (home office etc.) et ça, ça fait du bien. Et puis, si tu as quelque chose à dire, ils t’écoutent, ils t’aident… Je ne me sens pas un numéro parmi 140.000…
Qu’est-ce qui t’a surprise quand tu es arrivée ici ?
J’ai été étonnée que le bâtiment ne soit pas adapté aux handicapés moteur (beaucoup de petits escaliers), mais on est en plein changement ! Je suis sûre que ça va venir.
Ce qui m’a vraiment surprise, c’est la proximité entre les collègues et la direction ! C’est sympa de faire la bise à tout le monde le matin en arrivant (une des coutumes des Kardoliens) et de tous se tutoyer y compris la direction justement ! C’est hyper agréable, ça crée du lien facilement. Du coup, on a moins de mal à se dire les choses ou demander de l’aide et puis on se lie plus à l’entreprise et aux gens, ça compte.
Pour finir, si tu devais citer 3 adjectifs pour définir Kardol ?
Je dirais convivialité (on a une soirée tous ensemble demain soir par exemple), entraide et puis… afterworks ! Même avec les patrons !
Merci Laétitia pour cet entretien !